Le
mot du jour
Cette version
intégre maintenant un album photos. |
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Les quelques
peintures de Jean, quand il n'est pas à l'ordinateur....
Dès
l'âge de 8 ans, mes parents ont décelé un certain
goût pour le
dessin et la peinture ; ils m'ont inscrit dans un
atelier d'expression libre me permettant d'essayer
toutes les techniques "sans tabou". Dans
la série "copier, c'est déjà créer", il
m'a été facile de trouver ma propre voie sur la technique
et sur les thèmes.
Le
romantisme de l'adolescence et les expériences sentimentales
ont fait le reste....
Ce
n'est que tardivement que j'ai commencé à garder
les peintures pour ma famille ; plusieurs sont disséminées
dans les mémoires au mieux, sous des cartons ou
pire...
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C'est
la dernière peinture (1983 de mémoire) que j'ai offerte
à mes parents ; inspirée comme d'autres de Turner,
cet océan en furie est pourtant bien clair comme le
ciel qui le surplombe.
Pour
une fois, il n'y a pas d'évènement, ni d'objet ;
seul le mouvement des eaux et du ciel. Comme c'est
étrange, ce vide dans ce mouvement...
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Cette
reproduction de Turner (vers 1982) me tient à coeur
par ses couleurs, son thème, le mouvement circulaire
de l'air.
La
fabrication même de cette peinture m'a permis de sentir
de près cette impression de construction d'une image
mouvante, faite de couches successives, de touches
si petites que l'on ne sait pas vraiment si le résultat
sera là.
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La
peinture à la gouache mélangée
à l'aquarelle permet de donner des effets de
volume et de dégradé assez surprenants.
C'est surtout la finition au vernis qui laisse éclater
les couleurs claires, d'autant plus que le tableau est
sous la lumière.
Pour
l'arrivée d'Olga à Voiron en 92, j'ai
peint ce tableau inspiré des oeuvres de Turner
dont je suis amateur.
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L'année
de notre mariage en 92, nous avons fait un voyage en
Provence ; ces paysages lumineux m'ont frappé.
De retour, j'ai vu que Nicolas De Stael avait été
lui aussi impressionné à l'époque.
J'ai peint ce tableau d'après l'un des siens.
Les thèmes
d'inspiration principaux sont la mer agitée
de préférence, mais on retrouve parfois
des motifs totalement abstraits. Loin d'être
figurative, l'expression des tableaux est en mouvement
permanent ; l'œil a ainsi une impression globale,
et pourtant c'est le détail du coup de pinceau
qui frappe par petite touche.
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Tout
à fait dans un autre genre, ce tableau peint
en 1990 après ma première visite dans
les locaux de Pechiney ; une œuvre murale de ce
type ornait le salon d'accueil ; j'ai passé en
long moment à la comtempler.
De retour
à Tarbes, j'ai reproduit ce motif qui me plaisait
tant pour l'offrir à Olga.
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La
mer revient toujours, mais elle n'est jamais vide. Ce
tableau à base de bleu peint en 92 laisse imaginer
quelque chose dans l'horizon (un phare, un bateau, un
port ?). |
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